DOSSIER : OVNI

 

 Alors qu'en 2023, la Nasa annonce le lancement d'une enquête de plusieurs mois portant sur les phénomènes aériens non identifiés ou ovnis, que sait-on vraiment sur ces apparitions d'objets célestes ?

Nous avons connaissance de certains événements concernant des apparitions qui ont eu lieu en 1989 et 1990 en Belgique et qui sont parmi les plus marquantes que l'on connait.

Le professeur Jean-Pierre Petit, physicien,, spécialiste de physique des plasmas et de cosmologie, directeur de recherches au CNRS, a publié un livre très audacieux : "enquête sur les ovnis". Ce professeur cherche en fait un phénomène scientifique, rationaliste, non ésotérique de ces apparitions. On sait qu'il y a 100 milliards de galaxies dans l'univers avec 30 milliards de planètes par galaxie dont 15 milliards de planètes de forme proche de celle de la terre, soit 1500 milliards de planètes ressemblant à la terre. Il y a donc peu de probabilités que nous soyons seuls dans l'univers.

Tout au long du Moyen-âge, des récits évoquent des contacts avec des créatures vivant "entre les anges et les hommes". L'un des textes les plus célèbres est celui d'Agobard, archevêque de Lyon, dans la première moitié du IX é siècle. De même, dans nombre de textes anciens, paiens ou chrétiens, apparaissent des êtres qui, quoique supérieurs aux hommes, ne sont pas d'essence divines puisqu'ils sont mortels comme eux. Ils sont dotés d'une grande science et savent se déplacer dans le ciel d'eux-mêmes ou sur des "vaisseaux".

Dans l'Antiquité, un Plutarque croit à l'existence de tels êtres : pourquoi la nature n'aurait-elle rien prévu pour remplir le vide qui existe entre les mortels et les divins immortels ?

Il y a un refus de la majorité des scientifiques d'étudier les phénomènes ovni. Ce phénomène se prêtre d'après Jean-Pierre Petit à une approche scientifique et rigoureuse. Il se considère à cent pour cent comme un rationaliste et veux exclure ce type d'ouvrages sur le ovnis du rayon "ésotérisme" car il ne fait lui-même aucune référence à l'ésotérisme ou aux phénomènes paranormaux.

Ces ovnis étaient vus de très près par les gens en Belgique et certains étaient carrément immobiles au-dessus des toits de leur maisons.

La vitesse des ovnis, plus de 1800 km/h prouve que ce n'était pas des ballons sondes. Etant donné les trajectoires, ce ne pouvait être des météorites ou des corps en phase de rentrée atmosphérique. Etant donné la météorologie, ce ne pouvait être ni des phénomènes naturels, ni de faux échos radars. En raison des accélérations enregistrées, il ne s'agissait pas d'avions puisque les ovnis passent en une seconde de 280 km/h à 1830 km/h.

La société belge d'études des phénomènes spatiaux a reçu un rapport du QG des forces aériennes belges sur autorisation du ministre de la Défense, puis le 22 juin 1990, ce rapport fut complété par des documents "Paris-Match". Ces documents étaient constitués par les enregistrements de cinq radars dont deux à bord de chasseurs F 16 lancés à la poursuite d'un ovni. La chasse dura soixante-quinze minutes et ils ont déterminés tous les paramètres de vol de l'objet.

On ne peut pas prendre des photos à moins de cent mètres d'un ovni, car l'objet est protégé comme en émettant de l'infra-rouge ou cela est dû au fonctionnement de leur machine. Il faudrait utilisé une pellicule sensible à l'infra-rouge.

Les ovnis franchissent le mur du son sans faire de "bang", ce qui n'exista pas pour les machines volantes humaines actuelles. En conclusion, selon lui, les engins vus en Belgique ne sont pas d'origine terrestre.

Il s'agit de la première interception radar officiellement reconnue réalisée sur un ovni.

Il y a eu une soudaine politique de transparence du ministère de la Défense belge. La Belgique est le seul pays au monde où le sujet ovni est suivi depuis longtemps par de véritables scientifiques.

De nombreux témoignages font état de virages à angle droit pris par les ovnis à pleine vitesse. A notre niveau scientifique, nos objets volants humains se volatiseraient et aucun être humain ne pourrait supporter ces accélérations.

Avec le programme Séti qui consiste à tenter de capter à l'aide d'antennes d'éventuels signaux radio émis par d'autres civilisations planétaires, on a écouté à ce jour 200 étoiles mais il faudrait écouter 200000 étoiles pour avoir une chance de capter un message. Les ondes radios cheminent à la vitesse de la lumière, c'est-à-dire au regard des distances envisagées à une vitesse extrêmement lente, dans un rayon pas assez proche pour capter le signal émetteur.

Pour voyager d'aussi loin, A. Sakharov suggéra que nous étions censés vivre dans deux univers, un le notre et un univers constitué d'anti-matières.

C'est une vision gémellaire permettant de penser à un déplacement à très grande distance dans le cosmos. Ces deux univers se présentent comme un tissu avec sa doublure qui pourrait communiquer ensemble, c'est-à-dire un mode de plissement en accordéon du tissu cosmique et du temps qui se raccourcirait ou se rallongerait selon certaines conditions météocosmiques et qui permettrait dans la doublure de se faufiler dans le temps pour en accélérer le voyage. C'est un vêtement cosmique avec une faille dans le temps (ouverture hyperspatiale).

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